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CHOLESTEROL GARE AUX STATINES

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Message  Orgon Mar 11 Sep 2012 - 7:29

ALTERNATIVE SANTE N° 13
Jeudi 6 septembre 2012
Bonjour,
Je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire lorsque j'ai lu dans la presse, il y a quelques jours, que les douleurs musculaires, ressenties par de nombreux patients suite à la prise de statines (le traitement classique du cholestérol) étaient sans doute dues à la consommation simultanée de... pamplemousse.
Je n'aurais pas dû rire, je sais, car il s'agit de gens qui souffrent, mais c'est quand même fort de café, non ?
L'hypercholestérolémie (en clair, le cholestérol) est sans doute la pathologie à propos de laquelle l'industrie pharmaceutique aura fait son plus bel effort de bourrage de crâne. Le summum de l'escroquerie a été atteint quand on a décidé d'abaisser les taux à partir desquels on pouvait être considéré comme malade, ce qui a eu pour effet d'augmenter considérablement le nombre de clients potentiels pour des médicaments vendus fort cher.
Cette newsletter est donc entièrement consacrée au cholestérol et elle vous permettra de parler d'égal à égal avec votre médecin s'il vous annonce, un jour, que vous devriez vous faire soigner.
Bonne lecture, et à jeudi prochain.
Alexandre Imbert
GARE AUX STATINES
même si c'est le traitement officiel du cholestérol !
Les statines (sous le nom de TAHOR, ZOCOR, VASTEN, LODALES, CRESTOR, LOVASTATINE, PRAVASTATINE, SIMVASTATINE, FLUVASTATINE...) sont actuellement le « traitement parapluie » que la plupart des médecins prescrivent contre le cholestérol. Pourtant, elles sont de plus en plus violemment contestées en raison des dégâts qu’elles créent progressivement au cours des mois et des années d’utilisation continue.
Selon le Dr de Lorgeril cardiologue et chercheur au CNRS, « de nombreux patients se plaignent d’altérations cognitives. En fait les doses de statines utilisées actuellement sont beaucoup plus élevées que celles qui ont été testées en laboratoire….. » De plus au cours des mois, on assiste généralement à une fonte musculaire  progressive et un affaiblissement tel qu’il peut mener à la chaise roulante. Enfin, il se produit un vieillissement accéléré de la peau, mais aussi de toutes les fonctions organiques. Bref, une dégradation générale catastrophique.
Conscients de cette mauvaise réputation, et face aux demandes inquiètes des patients, certains médecins vont jusqu’à changer la marque de l’anti cholestérol dont les patients suspectent le rapport avec leur descente aux enfers et le remplacent par…. une autre statine de nom différent ! Et bien sûr la dégradation continue, montrant ainsi au malade que cela n’avait rien à voir avec le médicament.
Les normes du taux de cholestérol ont été abaissées pour pouvoir activer la vente de telles saloperies qui vous mènent au cimetière !
Pourtant, n’importe qui peut aller voir sur Internet les blogs plus ou moins dramatiques concernant de multiples victimes des statines. Mais beaucoup de médecins ne veulent pas savoir – ils préfèrent le parapluie et la tête dans le sable….
Le Pr Jacques Mansourati, cardiologue, a même le toupet de déclarer : "Aujourd’hui, aucune étude ne prouve formellement cette action nocive des statines sur la mémoire ou le raisonnement", sauf que deux études de six mois relevées par le Dr de Lorgeril,  portant sur les lovastatines et simvastatines, ont montré une altération systématique des fonctions cognitives chez les personnes traitées... Sans compter qu’il n’y a pas besoin de ces fichues études pour constater les dégâts itératifs chez les milliers de patients concernés.
Il faut savoir que le principe des statines est d’inhiber une enzyme du foie qui fabrique le cholestérol. Selon les statistiques, les statines diminuent le risque cardiaque mais ne l’annulent pas, d’autant plus que la moitié des gens qui font une crise cardiaque ont un cholestérol normal.
En tout cas, soyons clairs, la médecine officielle n’a rien de valable à proposer pour lutter contre le cholestérol et l’athérosclérose, et qu’on se le dise : tous les produits anticholestérol offerts par le marché pharmaceutique actuel sont DANGEREUX, voire cancérigènes ! 
Reste une proposition mitigée avancée par certains médecins et thérapeutes, c’est la levure de riz rouge qui est connue pour être riche en statines – naturelles cette fois. Très bien. Il semble toutefois que les effets iatrogènes subsistent, même s’ils sont moins graves...
Alors la solution est ailleurs, en particulier dans les médecines alternatives qui offrent des performances bien meilleures et sans effets secondaires regrettables (voir article ci-dessous).
Michel Dogna


CHOLESTÉROL :
LISEZ CET ARTICLE ET VOUS EN SAUREZ PLUS QUE VOTRE MÉDECIN !

Diabolisé par les médias et les laboratoires pharmaceutiques, le cholestérol souffre d’une profonde incompréhension chez les malades qui appréhendent mal ses mécanismes et, de ce fait, appliquent une prévention inefficace. Le jugement qu'ils portent sur la maladie est d'autant plus faussé que les médecins, partant du principe que tout le monde a entendu parler du cholestérol (bon et mauvais), limitent leurs explications à quelque chose du genre : vous mangez mal et vous êtes sédentaire, donc des plaques de graisse se déposent sur les parois de vos artères et quand c'est bouché, ça pête.
Mais l'hypercholestérolémie est un phénomène beaucoup plus complexe et souvent beaucoup moins grave qu'on ne le prétend. Voici ce qu'il faut savoir pour qu'on ne vous prenne pas pour un imbécile.
Le cholestérol est indispensable à la vie
Bien entendu, on ne peut pas contester le fait que l'excès de cholestérol soit nuisible pour nos artères, induisant artérite des membres inférieurs, accident vasculaire cérébral, angine de poitrine, hypertension artérielle et infarctus du myocarde…, mais il ne faut pas oublier que ce lipide est indispensable à la vie.
C'est un élément essentiel des membranes cellulaires puisque cette molécule participe à leur structure même.
Le cholestérol favorise la perméabilité de la cellule et lui permet de respirer et de bien se nourrir.
les hormones sexuelles sont élaborées à partir du cholestérol. Pas de cholestérol, pas de reproduction !
Le foie contrôle le cholestérol et l’élimine en fabriquant des acides biliaires. Or ce sont les acides biliaires qui permettent de digérer les graisses alimentaires et d’assimiler les vitamines lipidiques.
Ainsi, si l’excès de cholestérol est délétère, ne pas en avoir assez est également très préjudiciable. En prendre conscience est sans doute faire le premier pas dans le sens de la guérison.
Le mauvais cholestérol, heureusement qu'on en a !
Par ailleurs, même s’il n’y a qu’un seul cholestérol, on nous parle pourtant du « bon » et du « mauvais » cholestérol, de quoi s'agit-il ? En fait, le cholestérol est fixé sur des molécules de transport pour pouvoir circuler dans le milieu aqueux du sang. On parle de bon cholestérol pour désigner les molécules de transport de grosse taille (HDL), et de mauvais cholestérol pour les transporteurs de petite taille (LDL).
Mais personne ne nous dit que les LDL sont toutefois vitales puisque ce sont elles qui distribuent le cholestérol à toutes les cellules du corps. Mais c’est au cours de cette distribution, via le système artériel (donc dans le sens circulatoire « aller »), que le risque de dépôt sur les parois artérielles existe. Trop de LDL risque donc effectivement d’engendrer un ralentissement circulatoire, un manque d’oxygénation des muscles du cœur, avec pour conséquence possible l’infarctus du myocarde. Les HDL, que l’on va retrouver au niveau « retour » sont de gros transporteurs et des « ramasseurs » de cholestérol, on considère donc que l’on n’a jamais trop de HDL. Mais en toute logique, l’excès, en quelque matière que ce soit, n’est jamais bon pour la santé.
Mesurer vos taux de cholestérol ne vous apprendra rien d'intéressant
Pour comprendre le cholestérol, il faut savoir qu’il s’agit d’une variété d’alcool porteur d’acides gras essentiels. La qualité de l’acide gras essentiel lié au cholestérol est primordiale car c’est en quelque sorte sa source d’énergie. Plus que la quantité de cholestérol dans le sang, c’est la nature de son acide gras estérifié qui est importante. Si ce dernier est oxydé, le cholestérol est lui-même considéré comme un oxydant, et il peut de ce fait provoquer les lésions vasculaires, voire contribuer à des lésions dégénératives. Le contrôle de l’oxydation du cholestérol est donc plus important que la mesure de son taux global. Sauf qu'on ne mesure que le taux global...
Car ce qui favorise la formation de la plaque d’athérome (facteur de risque cardio-vasculaire), c’est le dépôt graisseux de lipides oxydés. Les graisses oxydées, tout comme les acides gras trans, sont en effet moins solubles. Quand elles sont saturées en hydrogène (comme c’est le cas des margarines), les graisses ont tendance à se figer. Elles traversent moins facilement la paroi des artères et finissent par se déposer sur la paroi vasculaire. Là, elles font gonfler les cellules. On parle de cellules spumeuses. Ces cellules irritées fixent du calcium. C’est ce qui déclenche la plaque d’athérome. L’artère se durcit et peut se boucher en provoquant une agrégation des plaquettes sanguines. En fait toutes les causes d’irritation de la paroi des artères sont des facteurs favorisant les complications. Les graisses saturées, le tabac ou l’alcool sont des irritants, mais aussi l’homocystéine, un produit de dégradation des acides aminés soufrés hépatiques. Tous ces facteurs conduisent à l’obstruction… et à l’infarctus.


Un taux que l'on revoit à la baisse régulièrement, c'est bizarre
Quand on a découvert le cholestérol au XIXe siècle, et que l’on a soupçonné par la suite un lien de cause à effet entre sa concentration dans le sang et des pathologies cardiovasculaires, on pensait avoir mis le doigt sur le paramètre qui permettrait de tout expliquer. Plus tard, on a voulu déterminer des valeurs dites « normales » de cholestérol et des valeurs seuils ont été fixées. Ces valeurs ont régulièrement été revues à la baisse ces dernières années, sans que l'on en comprenne vraiment la raison. Les études avaient été affinées nous a-t-on expliqué. À moins que ce ne soit parce qu’il n’y a pas de lien entre le taux de cholestérol et les maladies cardiovasculaires. Quoi qu'il en soit, en 1987, la valeur normale supérieure du cholestérol était de 7,2 mmol/litre. Or cette valeur est aujourd’hui considérée comme correspondant à un sujet gravement atteint de maladie cardiovasculaire.
Pourquoi ne vous prescrit-on pas cet examen ?
Il ne suffit pas, pour se rassurer, de se contenter d’un simple dosage des fractions du mauvais cholestérol contenu dans les LDL. Quand on fait un bilan lipidique pour rechercher des facteurs de risque, il faut également doser systématiquement la LPA : il s’agit d’une lipoprotéine invariable dont le taux est corrélé avec le risque d’athérome coronarien. Lorsque le taux de LPA est supérieur à 30 ml/dl, le risque coronarien est multiplié par quatre. On dose uniquement cette protéine une ou deux fois en dépistage à trois mois d’intervalle. Votre médecin vous a-t-il prescrit cette analyse, ça m'étonnerait !
Pourquoi ne parle-t-on jamais du foie et du stress ?
Par ailleurs, l'excès de cholestérol est souvent exclusivement associé à des déséquilibres alimentaires et à une mauvaise hygiène vie, mais ce serait négliger le rôle essentiel du foie dans ce domaine car c'est lui qui produit 70% du cholestérol. Pour réguler la production de cholestérol, c’est donc le foie qu’il faut traiter en priorité.
On oublie enfin qu'il y a une cause moins directe qui influence le taux de cholestérol, pourtant confirmée par de nombreux travaux, c'est le stress. Cette origine est d’ailleurs confirmée par le fait que l’on parvient souvent plus facilement à normaliser les niveaux de cholestérol lorsqu’une prescription magnésienne est associée au traitement classique. Deux stress semblent particulièrement nocifs, le premier étant le dérèglement des rythmes circadiens (ouvriers subissant les « trois huit »), le second étant la responsabilité d’une famille nombreuse…
Non, les statines ne sont pas sans danger

Voilà vingt ans que les laboratoires pharmaceutiques nous expliquent que les médicaments de la classe des « statines » ont été, dans le domaine de la lutte contre l’hypercholestérolémie, une avancée décisive. Ils engagent donc les médecins à les prescrire en quantités, tant pour la prévention primaire (chez une personne dénuée d’antécédent cardio-vasculaire) que pour la prévention secondaire (chez quelqu’un qui a déjà présenté un accident, infarctus du myocarde par exemple). On prescrit donc aujourd’hui ces médicaments à tour de bras et l’on a totalement occulté le fait que cette classe thérapeutique, aujourd’hui si vantée, n’est pas dénuée de certains effets secondaires redoutables qui se traduisent par une destruction musculaire progressive.
Sous le terme de statines, sont regroupées un petit nombre de molécules de synthèse capables d’inhiber l’activité d’une enzyme essentielle à la synthèse du cholestérol, la HMG-CoA réductase.
Ces molécules sont par ordre alphabétique :
– L’atorvastatine (commercialise sous le nom de Tahor).
– La fluvastatine (Fractal et Lescol).
– La pravastatine (Élisor et Vasten).
– La rosuvastatine (Crestor).
– Et la simvastatine (Inegy, Lodales et Zocor).
Une autre spécialité, la cérivastatine (Staltor) a été retirée du marché au cours de l’été 2001, justement à cause de ses effets musculaires.
Le Staltor, l'exemple de l'anti-cholestérol qui tue
Six millions de personnes dans le monde ont utilisé régulièrement le médicament anticholestérol (baptisé Staltor en France) du laboratoire Bayer avant de comprendre qu’il mettait leur vie en danger. Il y a quelques années, le groupe pharmaceutique a enfin mis un terme à l’hécatombe (à l’époque, on dénombrait déjà 52 morts) en le retirant du marché. Depuis, des problèmes de santé de toutes sortes ont affecté près de 10 000 personnes ayant eu recours au Staltor. Pour les indemniser, Bayer devra débourser plus d’un milliard d’euros. Et le cauchemar est loin d’être fini. De plus en plus de chercheurs soupçonnent, maintenant, que les traitements anti-cholestérol pourraient avoir un lien avec la maladie d’Alzheimer.
Car le principe actif du Staltor, la cérivastatine, a pour effet de réduire systématiquement la cholestérine, un des composants de la myéline cérébrale. Si l’on parvient à prouver que Bayer n’ignorait rien de ce type de risque, ce sera la fin du groupe allemand (inventeur de l’aspirine)… et peut-être de quelques confrères… Parmi les dix médicaments les plus vendus dans le monde, il y a trois autres médicaments anti-cholestérol : le Lipitor de Pfizer, le Zocor de Merck et le Pravachol de Bristol Myers Squibb. Qui sera le prochain sur la liste ?
Les statines inhibent la synthèse de coenzyme Q10
Mais inhiber l’action de la HMG-CoA réductase n’empêche pas seulement la synthèse du cholestérol mais aussi celle de la coenzyme Q10. Or, la coenzyme Q10 est indispensable à la régénération et au renouvellement des fibres des muscles striés (autrement dit volontaires). D’autre part, elle protège les autres lipides des phénomènes d’oxydation si redoutables et intervient dans la prévention des phlébites et de leurs complications.
Au cours des traitements par statines, la production de coenzyme Q10 peut ainsi chuter de 25 à 40 %, parfois 50 % alors que dans le même temps le cholestérol ne baisse que de 20 à 30 %…
Par ailleurs, si une efficacité au niveau de la prévention primaire ou secondaire est reconnue à certaines statines (mais pas à toutes), c’est parce qu’elles ont la capacité d’accroître le nombre de récepteurs aux LDL à la surface des cellules du foie (hépatocytes), et seulement pour cela… Mais cette action est tout à fait insuffisante pour justifier que l’on en fasse aujourd’hui le remède ultime du risque cardio-vasculaire comme on le fait sans vergogne. Au final, le risque semble bien grand et le bénéfice bien aléatoire pour justifier la prescription massive de statines.
Si vous êtes ou avez été traité par une statine, il est essentiel de prendre de la coenzyme Q10 à la dose de 100 mg par jour en recherchant des présentations suffisamment dosées (50 mg par gélule par exemple), et ce pendant un minimum de trois mois. Pour en savoir plus sur la coenzyme Q 10, cliquez ici.

La phyto : une vraie alternative aux statines

Aujourd’hui, la médecine allopathique se focalise sur la destruction de la molécule LDL et sur un seul type de traitement, les statines. Une erreur de raisonnement qui s’est traduite par un échec parce que c’est oublier que l’organisme a, en principe, de quoi réguler seul le cholestérol.
Parmi toutes les biothérapies, la phytothérapie est sans doute celle qui offre le plus de solutions et de bienfaits dans le traitement du cholestérol. Pourquoi ? Mieux que toute autre, elle permet d’obtenir une action hépatique. Or le foie, comme nous l’avons vu, fabrique le cholestérol, mais surtout, le régule. Par la phytothérapie, ce sont des paramètres de régulation qui vont être stimulés, renforcés ou rendus cohérents.
Pissenlit, chicorée, aunée, bardane stimulent les fonctions hépatiques
Sans savoir qu’ils agissaient sur le cholestérol, nos aînés utilisaient, au printemps et à l’automne, des dépuratifs. Or, parmi ces dépuratifs, on retrouve des plantes comme le pissenlit, la chicorée, l’aunée ou la célèbre bardane. Toutes ces plantes stimulent les fonctions hépatiques. Elles augmentent le flux biliaire et entraînent un effet dépuratif du sang, ce qui profite au foie dans sa recherche de l’équilibre des paramètres sanguins, dont, bien sûr, celui du cholestérol.
Le romarin capte l’énergie solaire
Le romarin est un stimulant du foie. On explique son action par une notion de chaleur. En effet, le foie est l’organe le plus chaud du corps, il peut atteindre parfois 41 °C alors que le corps dans son ensemble est à 37 °C. Le romarin est une plante du soleil et de la chaleur. Il pousse d’autant mieux qu’il est baigné de lumière solaire. Ses feuilles sont de véritables capteurs de cette énergie, qu’il concentre sous forme d’huile essentielle. Une cure de romarin peut se faire chaque matin et chaque midi à raison d’un bol d’une infusion d’une ou deux grosses pincées de feuilles (10 minutes). Les feuilles sèches libèrent plus facilement, lors de l’infusion, leurs principes actifs. On récolte les feuilles de romarin pendant l’été et en début d’automne.
 
L’aubier de tilleul fortifie les reins
L’aubier de tilleul est un fortifiant des reins et un dépuratif puissant. Il va nettoyer l’organisme et s’opposer à la tendance à l’athérosclérose (résultant du dépôt de plaques graisseuses sur les parois des artères) . Il est particulièrement indiqué pour les personnes qui souffrent déjà de troubles circulatoires de type ralentissement circulatoire artériel (extrémités froides, fatigue) et qui recherchent un effet fortifiant. L’aubier de tilleul rouge a meilleure réputation que l’aubier de tilleul blanc que l’on rencontre parfois. On peut le consommer sous forme préparée en ampoules ou bien on en en prépare un litre chaque matin sous forme de décoction à raison de 3 cuillères à soupe pour un litre que l’on boira durant la journée. Faire une cure de 21 jours à renouveler chaque mois si nécessaire. Traditionnellement, on utilise la prêle en complément de l’aubier de tilleul. Une cure d’une semaine de prêle, selon le même mode d’emploi, sera toujours bénéfique car elle apportera à l’organisme des éléments minéraux constructeurs.
 
Le ginseng baisse le mauvais et stimule le bon
Chacun connaît le ginseng pour ses multiples effets sur le corps. On ne peut manquer de le citer dans les grands remèdes contre le cholestérol. Parmi les études qui ont été menées sur cette plante, celle du docteur Ikehara (Japon) démontre que le ginseng facilite la baisse du mauvais cholestérol (LDL) et stimule la fabrication du bon (HDL). Rappelons que le ginseng est cardioprotecteur (il favorise l’apport en oxygène dans tout le corps), cardiotonique (il réduit la fréquence cardiaque lors d’un effort physique intense), vaso-dilatateur et régulateur de la tension artérielle. Il est également antistress, antioxydant, régulateur hormonal et utile face au diabète. Prendre chaque matin environ 500 mg sous forme de gélules pendant 15 à 20 jours renouvelables.

Votre médecin connait-il cette statine naturelle ?
En l'an 800 avant notre ère, les Chinois connaissaient déjà la levure de riz rouge, obtenue par fermentation d’une levure (Monascus purpureus) sur du riz et appelée XueZhiKang. Ils attribuaient à la levure de riz rouge la capacité de favoriser une bonne circulation du sang et de soulager l'indigestion et la diarrhée.
C’est à partir d’extraits de XueZhiKang mis au point et brevetés par un professeur de l'université de Pékin dans les années quatre-vingt qu’ont été réalisées les premières recherches démontrant l’effet hypocholestérolémiant de la levure de riz rouge. Cette statine naturelle n’est cependant pas la panacée puisqu’on la soupçonne, à fortes doses, de provoquer en partie les mêmes effets secondaires que les statines chimiques, notamment sur le foie et les muscles. Il est donc recommandé de ne pas prolonger le traitement plus de deux mois. Sachez par ailleurs qu’il faut impérativement espacer la prise de levure de riz rouge et la consommation de jus de pamplemousse d'au moins deux heures. Car l’assimilation de l’une bloque celle de l’autre. Il en résulte la fabrication de toxines dont l’accumulation peut entraîner des syncopes.
En cas d’hypercholestérolémie, prendre 3 à 4 gélules par jour juste avant les repas. Associée à une hygiène alimentaire adaptée et à la prise d’huiles de poissons titrées à 18 % d’EPA et 12 % de DHA (deux acides gras essentiels dont la consommation régulière limite l'excès de cholestérol), la levure de riz rouge permet d’inverser la tendance assez rapidement, mais n'en prenez que pendant deux mois.

Lorsque la maladie est certaine, il y a plein de solutions naturelles efficaces
Pour ce qui est de la prise en charge de l’hypercholestérolémie elle-même, plusieurs molécules naturelles nous proposent une aide efficace. Ne serait-ce que la vitamine C (naturelle) à forte dose !
Parmi ces substances : 
la quercétine : un antioxydant puissant
le policosanol : qui diminue la production de cholestérol par le foie
le resvératrol : antioxydant et vasodilatateur
les phytostérols : qui s'opposent à l'absorption intestinale du cholestréol
le magnésium : contre le stress
la coenzyme Q 10 dont nous avons parlé plus haut
et de nombreux compléments alimentaires proposant des complexes de plusieurs molécules 
 Je vous renvoie pour en savoir plus à l'excellent article qui est paru sur le site principes-de-sante.com
Vous y trouverez le détail des effets de ces substances ainsi que les adresses où vous les procurer.

Ainsi, l’hypercholestérolémie trouve de nombreux remèdes dans la panoplie des traitements naturels. Pour le prendre en charge, sans faire appel aux traitements classiques, rappelez-vous seulement que toute démarche visant à réguler le cholestérol impose de faire une cure. Pas question de prendre une plante de temps à autre, en dilettante, les résultats ne seront pas au rendez-vous ! Et faire une cure anticholestérol, c’est, en parallèle d’un traitement phyto, réformer son alimentation, autrement dit faire une deuxième cure, diététique celle-là. Une cure alimentaire sans cure drainante peut ne pas porter ses fruits. Et vice-versa.
À jeudi prochain et d'ici là, prenez soin de vous.
Dominique Vialard

PS : Je vous donne un dernier remède anti-cholestérol qui ne coûte rien, le trognon de pomme. C’est prouvé, le cœur de la pomme et ses pépins concentrent une forte proportion de vitamines et surtout de fibres, à savoir des matières pectiques solubles (pectines, protopectines, acide pectique). Or ces dernières se comportent comme une véritable éponge vis-à-vis des toxines, des métaux lourds et… du cholestérol. Quand vous mangez des pommes, mangez tout !
Orgon
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